La zone économique franche de l'aéroport de Dubaï et le département de la défense civile développent une coopération mutuelle

La direction de la zone franche économique de l'aéroport de Dubaï et le ministère de la Défense civile de Dubaï (EAU) ont signé samedi dernier deux accords de partenariat sur la prévention des incendies et la formation du personnel aux procédures de sécurité, dans le cadre des programmes de formation "Danger d'incendie et mesures de protection contre eux". Selon M. Mohammed Al-Zaruni, directeur général de la zone franche économique de l’aéroport de Dubaï, la direction s’engage à créer un environnement de travail sûr pour les entreprises internationales et leurs employés travaillant dans la zone franche économique. À cet égard, un travail intensif est nécessaire avec le Département de la défense civile et les autres institutions et organisations intéressées dans le domaine de la sécurité et de la protection humaine. Cette ZES est adjacente à l'aéroport international de Dubaï, ce qui nécessite davantage de précautions pour éviter tout incident de sécurité.

Al-Zaruni a confirmé que la ZES est pleinement disposée à commencer à appliquer les derniers systèmes et procédures recommandés par le Département de la défense civile.

"La signature de ces accords avec diverses institutions de premier plan permettra au Département de mener son travail de manière plus efficace", a déclaré le Général de division Rashid Thani Al-Matrushi, Directeur général du Département de la défense civile de Dubaï. "Nous souhaitons protéger diverses institutions économiques, en particulier celles qui apportent une contribution précieuse à l'économie du pays et au développement de la société. Avec l'aide de grandes sociétés britanniques internationales et spécialisées, le Département s'est doté des derniers dispositifs d'alarme permettant de réduire le nombre d'incidents et d'accidents 2009 de 40% par rapport à 2008. " Rappelons que la ZEF de l’aéroport de Dubaï est l’un des plus importants projets d’investissement et d’économie des autorités émiriennes. Actuellement, environ 12 000 personnes travaillent sur son territoire.